Delfine

Avec comme toujours quelques métros de retard, je te souhaite la bienvenue Delphine Nous avons des passions en commun : les livres et la peinture. Je fais beaucoup de tableaux principalement paysages et nature morte.
Je vous trouve bien en forme les hommes du forum et particulièrement notre Sylvain. Que de jolis vers !! Bisous à vous tous

Tout à fait, Perle Anne
J'ai complètement la banane
Je suis comme un lion dans la savane
Chez moi aucune fleur ne fane
Car j'ai des tonnes de jerricans
Remplis d'eau, d'amour et de frangipane,
J'ai aussi des sarbacanes
Car j'ai peur, le soir, dans ma cabane,
Où je me réfugie avec mon copain Dan
Qui a une fâcheuse tendance à prendre des Imovane*




* somnifères

Dis donc mon Sylvain, ça t'arrive souvent d'associer les femmes à des bananes

En effet, Sacrée Perle Anne !
Bon d'accord, mes poèmes ne sont pas d'une grande qualité littéraire mais bon ... Oui, j'ai la banane, en d'autres termes, la super pêche, en d'autres termes, la super forme, quoi !
Comment çà, j'ai comparé les femmes à des bananes ?????????
Moi ?
Oh, çà m'étonnerait ...
lol

Perle Nacrée, t'as de la chance que je n'ai pas dit ' j'ai la patate '
Là, j'aurais compris que tu sois vexée
rires

Bon d'accord, je vais oublier que je rime avec banane et penser au sourire de notre Sylvain Au prochain joli poème

" Et oui, je fais des poèmes,
Car ça, j'aime, car ça, j'aime,
Il suffit de demander, il n'y a pas de problème !
Delfine, Perle Anne, Babou, Camylène ...
Femmes parées de diadèmes,
Vous êtes des sources d'inspiration et jamais je n'aurais la flegme,
De vous écrire plusieurs vers en poèmes,
Et pourquoi pas sur plusieurs thèmes ?
Voire un millier peut-être même,
Car vous êtes toutes ... des "crèmes" !!! "

parmi nous Delphine (désolée du retard)

Merci Karameltendre!

karamel
tu es comme une hirondelle
tu surplombes le ciel
au travers de tes textes, tu déploies tes ailes,
tes histoires sont tellement belles
en particulier ' les soeurs jumelles '
tu es sans doute un caramel au miel
car oui, tu écris des nouvelles,
et pas des de celles,
qui ne restent pas dans nos cervelles
mais bien lesquelles
nous touchent jusqu'à la moëlle

Merci Sylvain pour ce beau poème