La lampe de Chevet
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La lampe de Chevet

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 " en captivité" extrait 1

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reia
Elève
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reia


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MessageSujet: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeJeu 3 Fév - 15:38

j'ai travaillée toute une nuit et une journée entière j’espère non je vous demande de ne me pas faire de fleures il doit ne pas y avoir de fautes ou très très peut
j’espère que cette lecture seras bien plus agréable que la premier fois
« prologue »

- Cela fait longtemps que vous êtes dans ce métier?
- Eh bien mon père est un psychiatre de renommée mondiale, j'ai toujours suivi ses conférences lorsque j'étais jeune et cela n'aurait pas été bien vu si je n'avais pas suivi le même parcours professionnel.
- Oui je sais ce que c'est ! Médecin de génération en génération, sinon on vous rayes du testament et plus d'héritage.

Sonia émet un petit rire quand tout a coup son attention fut attirée par une jeune femme .
- Qui est-ce ? demande Sonia à Betty l'infirmière en chef .
- Elle s'appelle Marge Thompson mais elle se fait appelé Judith Hamer.
- Elle souffre d'un dédoublement de personnalité ?
- Oui ! Son état est tout à fait irréversible.
- Depuis combien de temps est-elle ici ?

Betty précise que Marge est arrivée en 2008, c'est son père qui l'a amenée, il ne pouvais plus subvenir à ses besoins. Lui est tombé malade et Marge était devenue un danger aussi bien pour elle que pour autrui.
Sonia regarda Marge prostrée devant la fenêtre et marmonner tout bas quelques mots à peine audibles.
- Qui a suivi son dossier?
- Nous avons eu sept médecins de grande renommée mais aucun n'a pu la soigner.
- Puis-je y jeter un coup d'œil?
Sonia explique qu'elle avais déjà eu affaire à des cas déclarés irréversibles et après une longue thérapie acharnée ,elle réussi à redonner une vie décente et un travail à ses patients soit disant complètement fous à lier.
- Oui si vous voulez, c'est vous maintenant qui dirigez le service, dorénavant. Vous n'avez pas besoin de vous justifier.
- J'aimerais comprendre son état et à quel niveau en est sa démence.
Sonia cesse de regarder Marge pour reprendre sa visite des lieux et continue de visiter les autres patients qui se trouvent dans l'unité de psychiatrie.


Chapitre 1
L'immersion totale

Non ! je ne suis pas malade !
- Comment vous appelez vous ?
- Je m'appelle Judith Hamer.
- Votre lieu de naissance?
- Pourquoi des questions aussi farfelues ? Les autres toubibs ne me demandais pas ces choses là.
Sonia l'a regarde d'un air dubitatif et lui demande : que vous demandaient-ils?
- Bah ! Si j'avais était violente étant jeune, ou si j'entendais des voix dans ma tête, tout un tas de choses ridicules juste pour me faire passer pour folle.
Sonia lui explique qu'elle ne fonctionne pas de la même manière que les autres psychiatres, que ses méthodes étaient différentes et qu'elle croyait ce que chaque patient lui disait sans même les juger ni sans aucun préjugé. Elle partait du principe que le patient devait dire ce qu'il avait à dire et lui accorder toute sa confiance, de se fait les patients peuvent s'épanouir sur le chemin de la guérison.
- C'est bien la première fois que quelqu'un de votre espèce me raconte autant de conneries. Vous ne m'aurez pas, essayer de m'amadouer ne marchera pas, je continuerais à dire la vérité jusqu'à ce que quelqu'un me croie enfin.

- Eh bien je suis la pour ça ! Dites moi la vérité et en échange.....
- En échange quoi ?????
- Je vous ferais sortir d'ici, c'est bien ce que vous voulez non?
- Je ne veux pas seulement sortir d'ici, je veux aussi que la vérité soit mise au grand jour !
- Eh bien allez-y, je vous écoute.
Sonia tire une chaise en indiquant a Marge de s'y asseoir.
Marge regarde cette chaise de travers tout en réfléchissant à la possibilité qui s'offre à elle, sortir, liberté.
Ces mots s'entrechoquent dans sa tête, son esprit se brouille, Marge ne sait plus quoi penser.
Sonia reprit avec un ton plus doux : eh bien Judith Hamer je vous écoute ?
Marge est à la fois perturbée mais se sent en confiance, la psy venait de l'appeler Judith Hamer ,personnes ne l'avais appeler par son vrai nom jusqu'ici et rien que cela lui donne envie de raconter une nouvelle fois son son histoire. Et puis, au pire, elle se dit que si elle n'est pas crue elle aura tenté une fois de plus avec un nouveau psychiatre et elle ne pourra pas le regretter et se rejeter la faute de ne n'avoir pas essayer.
Marge s'appuie sur le dossier de la chaise avec son bras gauche et avec élan fini par s'asseoir et s'installer confortablement.
Marge reprend une profonde inspiration et se prépare à raconter son histoire : eh bien …

- je travaillais pour le F.B.I il y a 4 ans ,j'étaie sur une affaire qui est encore aujourd'hui rester sécrète au yeux de la population ainsi qu'au président des états unis.
A l'époque je n'ai bénéficier d'aucun traitement de faveur n'y quoi que se soit d'autre et encore moins touché une prime ou une rémunération pour le service que je leurs ai rendu.
Bien sur vous allez me dire qu'ils n'avaient rien demander mais cela aurait été la moindre des choses mais au lieu de ça, il mon enfermaient ici, je suis destiné à rester dans ses lieux et de errer jusqu'à la fin de mes jours en laissant croire à ces foutu psychiatres que je suis complètement barge .
j'étaie une gêne pour eux car je savais le fin mots de l'histoire,je risquer de tout dévoilé au autorités militaire américain ,et croyez moi ,c'est dans ces moments là que l'on sais de quoi est capable le F.B.I.
Pour nous faire taire ,ils n'hésitent pas à montaient un dossier sur votre compte ou il est bien sûr indiquer de vous souffrez de maladie psychologique irréversible ,que vous êtes dangereux pour votre entourage ainsi que pour vous même.
Oui! On me fait passer pour une dingue ,mon dossier dit que je suis schizophrène et que les voix dans ma tête me font tuer des gents ,alors que tout est faux!!
Je suis tout à fait normal enfin je pense, bien sur comme tout le monde sur terre j'ai un grains de folie ,mais sans plus!
C'est vrai que par le passer j'ai vécu de drôle de choses ,enfin quand je dit drôle je veux dire des choses vraiment inhabituelle de plus j'ai enduré des événements tellement horrible, qu'une personne normal aurais était bouleverser jusqu'à la fin de ses jours.
Que c'est il passer ? Et bien je vais vous le dire! mais laissez moi vous plantez le décor afin de bien imaginé la situation dans laquelle je me suis retrouvais ,je vais vous racontez toute ce qui c'est vraiment passé.
Vous vous réveillez, vous êtes attachez les pieds et mains liées, le front sanglé sur se qui semble être un fauteuil . L'endroit où vous êtes est plongé dans le noir total, sans aucune source de lumière.
Dans ce lieux vous ne pouvez communiquer avec personne, crier de toutes vos forces ne servirai à rien personnes ne peut vous entendre.
Une blessure, antérieure, exerce une pression sur le dessus de votre crâne qui est encore sous l'effet du coup violant que l'on vous à porté. C'est ce même coup qui vous a fait perdre connaissance quelques heures auparavant.
Vous ne connaissez pas les individus qui vous ont emmené dans cet endroit et encore moins leurs motifs.
Vous vous repassez en tête vos dernières heures de liberté afin de saisir le moment qui vous a échappé pour comprendre où et comment vous êtes là et surtout pourquoi vous retrouvez vous dans cette situation des plus angoissantes voire terrifiantes.
L'odeur qui émane des lieux plongés dans l'obscurité est suffocante. Rien que de respirer demande un effort considérable, l'aspiration devient pénible tellement l'odeur est forte, on dirait de la chair en putréfaction : ça ressemble à celle qui émane de la charogne écrasée au bord des routes, ce morceau de chair rongé par des millions d'asticots qui prolifèrent avec la chaleur en plein mois d'aout.
Cette odeur s'imprègne dans votre gorge et laisse un goût terriblement âcre qui vous donne la nausée.
L'oxygène se fait rare et votre tête tourne peu à peu, le doute et la peur s'installent en plus de l'angoisse. Votre cœur cogne de plus en plus fort dans votre poitrine et raisonne dans vos tempes.
Un bruit insistant attire votre attention dans ce noir obscur : une goûte qui tombe au sol avec un débit régulier ploc!....ploc!....ploc!.....
sa chute est courte et le bruit d'impacts au sol et vous laisse pensez qu'il il y a une énorme flac étendu là! Le bruit et sourd et long:le liquide doit être épais, et lorsqu'il tombe il doit se glisser dans la marre au sol pour s'entendre un peut plus .
Ce bruit dure déjà depuis un bon moment ce qui vous fait rappelez que vous êtes coincé dans cette endroit depuis trop longtemps.
Et bien comment réagiriez vous si vous vous retrouviez dans une situation comme cela?
Sonia reste attentive à l'histoire de Judith.
Elle n'ose l' interrompre par peur que Judith ne se braque et cesse de raconté sont histoire.
Judith se lève de sa chaise et tape du point sur la table tout en regardant son interlocuteur.
Celle-ci sursaute à l'impacte violente des points de sa patiente ,elle dégluti difficilement mais ne perd pas son sang froid,Sonia avais appris durant ses études à ne rien laisser transparaitre ,afin de rester neutre devant chaque patient.
Judith continue de parler encore et encore par peur que la séance ne finisse aussi vite qu'elle avais commencer.
- Sachez bien que hurlé ne sert à rien ,s'agiter dans tout le sens pour vous défaire de ces liens biens temps que mal , et qu'une fois que vos efforts seront épuisées vous perdrez peu à peu le fils de la réalité vous ne saurez plus si vous vivez ce moment ou s'il vous le rêvez ,vous serez à demi conscient.
- Et bien vous ne souhaitez pas le vivre et encore moi que quelqu'un endure une situation aussi horrible, on pourrait se croire dans un film d'horreur , il serait tellement choquant que cela vous laisserez des séquelles pour toujours .
- Et bien sachez que j ai déjà vécu un moment pareil.
Mais avant de rentré dans plus de détails j'aimerais que vous me laissiez aller cherché mes notes chez moi dans ma chambre,tout est écris dans les moindres détails.
lorsque vous dites « détails » vous voulez dire quoi?demande Sonia à Judith pour en savoir plus.
Et bien tout ! Dedans il y à des lieux, des noms ,des dossiers top secret et tout un tas de choses véridique qui ne ferons que prouver que je dit la vérité.
Ce sont des documents ? Ou des papiers importants?
C'est un journal que je tien depuis que je suis rentré au F.B.I tout et écris dedans absolument tout!
Mais comprenez que je ne peut pas vous laissez sortir de cette hôpital!
Vous ne me faites pas confiance? Vous avez peur que je ne revienne pas?
Écoutez je ne tire pas de conclusions a la première séance, si je vous refuse cette requête c'est tout simplement que je n'en ais pour le moment pas le pouvoir,comprenez vous?
Alors si je ne peut y aller cherché mes preuves ,comment allez vous me croire?..
- ne vous inquiéter pas de savoir si j'ai besoin de vos preuves pour vous croire ou non. Je propose de se voir le plus régulièrement possible pour parler de ce qui vous êtes arrivez et entamé une thérapie prolongé ….
- Une thérapie? Vous êtes comme les autres vous pensez que je suis barjo,vous voulez me manipuler ou quoi?... Judith commence à perdre son sang froid la colère monte et commence a l'a faire tremblé.
- Non ,non du tout ne vous énervé pas c'est que vous avez besoin aussi de tiré un trait sur cette histoire sordide vous l'avez dit vous même une personne normal aurais était choquer à vie , il est bien évident que vous aussi vous avez était affecter.
- J'ai pas besoin de me confié j'ai besoin de dire la vérité et de sortir de ce trou à rat compris !?!
Judith pris dans un excès de colère envoie valdinguer la chaise sur la quelle elle ne tenez plus en place depuis que Sonia avais commencer à lui dire qu'elle devais suivre une thérapie.
je vous en pris rester tranquille Judith ou je serais obliger de prévenir la sécurité.
Non! Pas la peine je.... je .. je vais rester tranquille ,excusez moi mais j'ai tendance à être sur la défensive depuis que on ma enfermer ici contre mon grée.
Je vous propose de revenir demain dans ce bureau pour une autres psychanalyse d'ici là vous aurez le temps de rassemblé toutes vos pensées .
Judith rajuste le col sa chemise qui s'était défait lorsqu'elle avait eu de grands mouvements d'énervement.
Elle prend la direction de la porte d'un pas accéléré,quand sa main droite vient se positionné sur la poignée,Judith se détourne et dit à Sonia: Merci...merci de me croire , je vous jure que je n'invente rien tout est vrai et vous ne savez pas encore toute l'histoire.
ne vous en faites pas vous pouvez me faire confiance je vous aiderez du mieux que je puisse faire. Sonia sourit a Judith pour la mettre en confiance.
Judith sourit également et sortis de la pièce et ferma la porte derrière elle laissant Sonia préparé le dossier d'un autre patient.
Judith reste songeuse ,elle repense à ce qu'elle a dit à cette femme psychiatre en se demandant si les choses allé changer enfin .
Judith marmonne à vois basse: j'espère que je vais sortir d'ici j'en est marre de rester dans ce trou à rat,on rend service et on se retrouve enfermer chez les fou.....
Judith continue de marmonné mais les mots ne sont plus audibles, elle prend la direction de sa chambre.
Cette chambre qu'elle appelé « Prison » si elle l'avais surnommer ainsi c'est parce que quand elle y était, elle n'avait pas le droit d'en sortir sauf pour consulté un médecin ou infirmier.
Une femme de chambre passé tout les matins pour faire le lit ,une autre pour lui apporté tout un tas de neuroleptiques soit disant pour l'aide contré les symptômes de sa schizophrénie , mais elle savait que c'était pour l'empêcher de parler , elle savais trop de choses beaucoup trop ,Judith savais qu'elle était une gêne est qu'elle devais sortir au plus vite avant qu'il ne lui arrive quelques choses de grave.
Judith rentre dans sa chambre, cette pièce est exiguë et sombre, le seul éclairage est celui de l'ampoule économique en milieu de plafond juste au dessus de sa tête, après avoir referme la porte derrière, elle et s'assoie sur son lit, seule sur ce lit médicalisé : il était muni de sangle en cuire marron,elle se trouvé de chaque coté du lit au cas ou un patient deviendrais trop agressif et instable.
Assise seule sur le bout de son lit elle repense à son entré au F.B.I les souvenir sont frais comme si elle le vivais sur le moment.....


Chapitre 2
Infiltration

18 août 2008
à Dallas
siège du F.B.I
bureau de l'inspecteur Avarez

Mais vous vous foutez de moi !
Vous pensez que j'ai le temps de discuter avec une soit disant voyante d'une affaire qui ne vous regarde en rien et qui, de plus, est caché au yeux de la presse. Alors ce n'est pas à quelqu'un de perturbé mentalement que je vais donner des renseignements concernant ce meurtre.

Mais ?.....
Judith Hamer n'a pas le temps de s'expliquer sur sa démarche, que l'inspecteur Avarez enchérie aussitôt

Et puis comment avez vous su pour cette enquête ? Personne n'est au courant même pas le président!
L'inspecteur ne laisse pas le temps à Judith de s'exprimer, il est trop énervé pour écouter quoi que ce soit qui pourrait sortir d'un voyant ou d'un agent de la presse infiltré.
Mais enfin laissez moi vous expliquer qui je suis! Je peux vous aidez sur cette affaire , j'ai des informations de la plus haute importance et cela pourrait vous aidez à coincer ce taré.
J' ai pas le temps d'écouter vos balivernes, sincèrement je vous conseille de déguerpir d'ici sur le champ si vous ne voulez pas que je vous mette au frais pour la nuit, et j'peux vous assurez que nos cellules ne sont pas des chambres 3 étoiles.
Écoutez, bon sang! Je venais faire une déposition pour vol de voiture lorsque j'ai ramassé un dossier qu'un de vos agents venait de faire tomber, et comme je suis honnête, je l'ai ramasser pour le rendre à l'agent en question , mais comme en tombant il s'était ouvert j'ai aperçu la photographie d'un des victimes de celui que vous surnommez « le collectionneur ».
Dans ce cas, je vous remercie, Mlle... comment déjà?
Judith Hamer !
Oui enfin bref, merci bien Mlle Hamer mais il est temps de partir maintenant.
Judith ne l'entent pas de cette oreille, elle veut finir d'expliquer pourquoi elle se présente ainsi à l'inspecteur.
Lui visiblement très énervé perd patience. Il fait les cent pas dans la pièce, un gobelet de café dans la main droite et la gauche dans la poche de son veston : cet homme est de petite taille et bien enrobé, ce qui amène Judith à penser à ces flics qu'on peut voir à la télé, ceux qui se goinfrent de donuts et sont bien trop gros pour courir après les criminels, visiblement ce n'est pas un cliché. Son pantalon est vert foncé , il porte une chemise blanche et un veston gris .
« cet homme a très mauvais goût en matière vestimentaire » pense Judith en le regardant de haut en bas.

-Écoutez moi juste une seconde ! Après je vous laisse tranquille, je vous le promet.
-Bon ! Allez-y qu'on en finisse! J'ai d'autres chats à fouetter moi !

Judith prend une grande respiration, ce coup ci elle arrivera a dire ce qu'elle veut sans être coupée, l'inspecteur ne pourra pas en placer une et Judith pourra s'exprimer à sa convenance.
Je suis dotée d'une capacité qui me permet de cerner les gens, quand je dit ça je veux dire tout simplement qu'avec une photographie je peux décrire le comportement, les goûts ainsi que ce qu'il pense, fait ou envisage de faire. Je peux situer des moments passés de sa propre vie, donner des lieux, préciser le sexe de certaines personnes qu'il côtoie en ce moment et même leur age approximativement, et encore d'autres choses.
Vous me suivez jusque là?

Humm! Mon collègue m'a répété la même chose avant que vous ne forciez la porte de mon bureau.
Bon, déjà je ne l'ai pas cru et refusé de vous recevoir! Mais vous avez quand même forcé mon bureau pour venir me répéter tout ca! Et vous savez quoi ?! Je ne vous crois toujours pas! J'ai vraiment autre chose à faire, j'ai pas de temps à perdre avec vos conneries !!!
Allez débiter vos âneries ailleurs, j ai un travail moi! Et il ne se fait pas tout seul .
Vous savez, ça fait 6 mois que je travaille sur cette affaire , j ai des psychiatres experts dans la criminologie,ils sont spécialisés dans les meurtres en série je n'ai que faire d'une personne comme vous.
Judith prend un moment pour regarder l'inspecteur et, tout en se levant de la chaise inconfortable sur laquelle elle avait passé trop de temps, dit :

Votre père est mexicain ,votre mère américaine, vous avez grandi aux États-Unis, vous ne parlez pas un mot mexicain car vous n'avez jamais vu votre père ni ce pays de votre vie .Votre père ne vous a jamais reconnue à la naissance! Vous aimez les beignets, votre café est un double latté sans sucre .Vous êtes daltonien à en juger par la couleur de vos vêtements. Vous aimez les films à l'eau de rose car ils vous rappellent ceux que regarder votre mère. Elle a souffert d'une maladie psychologique type Alzheimer.

Vous avez de l'après-rasage bon marché, vous n'aimez pas les transports en commun ,vous avez une passion pour les vieilles voitures, détestez le football américain, pariez aux jeux de course, vous avez une écurie qui se situe dans les 20 km d'ici, vous aimez vous y retrouver pour faire le point sur vos affaires lorsque vous séchez sur une enquête...

STOP!!!!!! C'EST BON !! C'est bon.....j'ai compris...
..Mais après tout!! Vous auriez très bien pu demander ces informations à n'importe qui au poste je vous signale, tout le monde me connait ici, je suis le chef!

Judith le regard au fond des yeux et cherche l'élément secret qui pourrait lui faire enfin comprendre qu'elle ne plaisante pas .

Vous avez peur des lapins, vous êtes cuniculophobe !
Quelle drôle de phobie ! Mais cela ne se contrôle pas, les phobies sont toujours étranges. Vous faites toujours le même rêve ,des millions de lapins qui galopent autour de vous un peu partout dans votre bureau, dans vos tiroirs, dans votre poubelle humm!
C'est un vrai problème ça vous rend même malade, vous avez même un traitement chaque fois qu'une crise se présente!

L'inspecteur, plus que gêné qu'elle ai découvert cette phobie dont, pourtant, il n'avait parlé a personne !!! Gêné aussi qu'elle se moque de sa phobie, lui ne peut la trouver ridicule, c'est une phobie après tout!

Oui! Bon ça va !
Taisez vous! De quoi je vais avoir l'air si un de mes hommes l'apprend . J'ai une réputation à tenir moi .

Judith eut un rire amusé.
Alors me croyez-vous maintenant ?
L'inspecteur ne peut pas cacher sa stupéfaction par la prestation de Judith, mais il reste tout de même méfiant, avec ce genre de personnes c'est le mieux a faire, il faut s'attendre à tout.

Si j 'accepte de vous laissez travailler avec nous sur cette affaire qu'est ce que j'y gagnerai?

L'inspecteur s'attend à tout entendre : Une somme exorbitante ou bien faire sortir un détenu en échange ou encore tout autre demande du genre qui n'est absolument pas négociable.

Rien, absolument rien!
Je vous laisse les honneurs, moi je veux travailler pour vous sur cette enquête uniquement, et je ne demanderais rien d'autre, pas de salaire, pas d'argent, rien!


L 'inspecteur, trouve la situation quelque peu douteuse mais accepte à condition de quelques détails qu'il explique à Judith.

Vous n'aurez pas de protection rapprochée, vous vous engagez de votre plein gré avec tout les inconvénients qu'il peut y avoir dans une affaire aussi dangereuse.
Oui bien sûr! Je suis même prêt à signer un papier s'il le faut.
L'inspecteur commence à trouver la situation bizarre: c'est la première fois qu'il tombe sur une personne aussi inconsciente et surtout entêtée à ce point .
Vous rendez vous compte de l'endroit où vous mettez les pieds, vous ne pourrez plus jamais faire marche arrière, et vous savez , il n'est pas rare que je perde un de mes agents sur le terrain surtout lorsqu'ils sont infiltrés ,vous prenez des risques, de sérieux risques.
Judith comprend que Avarez la met en garde contre les dangers mais elle comprend aussi que cela ne sert qu'à la dissuader de faire partie de cette enquête.
Oui je comprend, mais je ne changerais pas d'avis. Puis je ne serais pas infiltré, donc je n 'aurais pas de risque n'est ce pas?
Je vous ait dit « avec tout ses inconvénients » donc attendez-vous au pire .
Sur ces dernier mots l'inspecteur se lève et s'apprête à quitter la pièce lorsqu'il donne un dernier conseil à Judith :
Réfléchissez bien , la nuit porte conseil et si d'ici demain vous êtes toujours décidée a vous mettre en danger je vous attendrez dans la salle d'investigation demain à la même heure.
- Et bien à demain inspecteur.
L'inspecteur Avarez préfère faire une double enquête, il demande un/deux autres agent d'une autre section de recherche d'enquête sur Judith, après tout cette femme vient de se présenter à lui, pour aider le F.B.I sans rien demander en retour, cela ne présage rien de bon .

Judith prend son sac et sa veste qui se trouvaient posés sur ses genoux et quitte le bureau de l'inspecteur. Elle regarde autour d'elle afin de repérer la salle d'investigation qui est chargée d'approfondir l'enquête.
Tout en se repérant ,Judith retrouve le guichet de la secrétaire qui se trouve juste devant elle ,Judith avait eu affaire à elle en entrant :c'est une personne qui et sans doute de petite taille car ses bras courts n'ont pas atteint le stylo qui était posé sur le comptoir . L'apparence de ce petit bout de femme est étonnante : ses cheveux rouges délavés avec racines grisonnantes, ses yeux peinturlurés de far à paupière bleu canard (une couleur que portaient les femmes en 70 ,bien trop démodée) ,quand à ses lèvres elles portent un rouge à lèvre dans les tons orangés : et à en juger par son âge ainsi que sa tenue vestimentaire, cette femme n'avait pas dû s'acheter de vêtements depuis cette époque, chaque personne qui doit la regarder doit faire un bond dans le passé. Judith ne put se retenir de dire a voix basse :
- Cette femme ressemble à Andora dans ma sorcière bien-aimée, c'est trop chelou!
Judith regarde en direction de sa droite: des bureaux se trouvent de chaque côté de ce couloir où des bancs sont fixés au sol adossés contre le mur.
Judith se demande pourquoi ses bancs sont ainsi fixés au sol .
«On ne sait jamais, une personne mal intentionnée pourrait les voler ,c'est vrai qu'il a l'air tellement confortable »
Un homme est adossé contre le mur, ses mains sont entre les genoux il a l'air d'avoir pris un coup sur la tête car son regard est flou.
Vous voulez de la glace monsieur Onel?
Je veux ma femme! Voilà ce que je veux! Vous étiez sensés nous protéger!
Calmez-vous, vous êtes sous le choc.
Mais comment ne pas être choqué avec ce que je viens de vivre,j'ai encore du mal a comprendre comment on peut faire une chose aussi horrible, il m'a enlevé ma femme ,l'a séquestré pendant des jours , il m'a ensuite envoyé des photos au fil des jours où il me montrait la torture qu'il lui infligeait et vous n'avez rien fait pour nous aidez rien RIEN!
La femme qui venait de lui apporter de la glace se relève du banc et s'éloigne de l'homme :elle passe un coup de téléphone .
Judith tend l'oreille pour entendre un peu plus mais la femme est beaucoup trop loin et ne parle pas fort, certainement pour ne pas se faire entendre de l'homme, peut être est-ce confidentiel.
Judith pose les yeux au sol et vois marqué F.B.I avec un sigle identique à celui qui est dans le hall d'entrée en bas, juste avant de prendre l'ascenseur .
De l'autre côté sur sa gauche se trouve une grande salle dont la cloison ainsi que la porte sont vitrées, on ne peut pas vraiment distinguer ce qu'il s'y passe car des affiches sont fixées par certains endroits, cela doit permettre de garder une certaine discrétion sur l 'affaire lorsque les visiteurs passent dans ces lieux.
Cela doit être ici la salle d'investigation? Se dit Judith avec un petit doute.
Un homme passe devant elle avec un dossier tellement chargé que les contours de la chemise dans laquelle il est rangé sont déchirés de tout leurs longs
. Judith en profite pour demander ou se trouve le chemin de cette salle dans la quelle elle devrais se rendre demain.
Excusez moi , c'est ici que se trouve la salle d'investigation sur l enquête du collectionneur? Dit Judith tout en indiquant avec le doit la direction de cette salle vitré
Chut!!!!!!!!!!!!!!!!! c'est une affaire secrète et non ce n'est que la salle de repos venez je vais vous y conduire.
L'homme lui ouvre le chemin , sens présenté à Judith, il a un regarde d'agacement comme si quelque chose l'avait froisser .
C'est là ou nous travaillons en toute discrétion .
Judith et dans l entrebâillement de la porte lorsque l'agent lui dit avec un ton sec.
Et! je vais vous donnez un conseil .
Oui je vous écoute.
vous ne pouvez pas vous permettre de crié à qui veut l'entendre que nous enquêtons sur un fou dangereux qui collectionne des membres humains
je suis désolé .
Judith explique que cette histoire l'excite un peut et qu'elle est très pressé de travailler sur l'affaire.
Vous êtes Judith Hamer ?!
Oui désolé dans tout ça j ai aussi également oublié de me présenté.
Judith insiste sur « le également » pour montré à l'homme en question qu'il ne sais pas identifié.
J'ai mon patron qui ma parlé de vous il y a a peine quelque minutes vous êtes vraiment bizarre de vouloir vous intéressé à cette affaire
Si vous pouviez changer de disque .
Judith fait comprendre qu'elle commence à en avoir assez entendre la même chose depuis qu'elle c'est présenté au F.B.I .
j'aimerais mieux savoir le peut d' info que vous avez trouver sur le vous savais qui.
Je ne suis pas habitué à travaillé avec une personne de votre genre ,mais ….. mais comme mon patron ma demandé de faire équipe avec vous je suis bien obligé de ravalé mes pensé à votre sujets et de coopéré.
Judith sais très bien se que pense l 'inspecteur mais avant de faire son numéro de madame soleil , elle préfère attendre et rencontré les autres agents qui sont également sur l enquête et connaître le plus d'éléments possible sur le maniaque qui démembres ses victimes.

Après avoir passé 2 ou 3 couloir plusieurs portes, ils arrive tout deux dans la salle ou les agents chahute bon train.
c'est fini! L'inspecteur n'est pas loin vous voulais vous faire viré ou quoi?!
Oh! ça va on déconne un peut ,ça fait des semaines qu'on travail et qu'on avance pas on est crevé .
ON NE VOUS PAYE PAS POUR DORMIR!!!!! dit l 'inspecteur qui arrive dans le dos d'un agent qui joué au basket avec des boule de papier qu'il jeter dans la poubelle.
Je vois Mlle Judith que vous avez fait connaissance avec agent Lee Kong

oui tout juste.
Judith explique qu'elle la rencontré dans le hall en sortant de son bureau ,mais il ne s'était pas présenté.
Comme à sont habitude ! Dit L'inspecteur tout en toussotent en direction de Lee Kong pour lui faire la remarque.
Et je vous présente ici agent Tod qui est profiler ,il a travaillé pour le président des États-Unis et agent Howell qui fait des recherches sur le passé du collectionneur afin de comprendre ses agissement et pourquoi il sévis dans la région .
Quand à agent Lee Kong il sera sur le terrain avec nos renfort lorsqu'on auras découvert ou est la cachette du collectionneur .
L'inspecteur explique aussi que l'agent Lee s'occupe aussi des découvertes de corps abandonné avec le légiste.
Ce sadique prend plaisir ,à nous envoyer des photographies de ce qu'il fait à chaque victimes au fur et à mesure des heures voir jours de captivité.

L'inspecteur présente Judith aux agents qui le trouve fort séduisante mais par ailleurs ne sont du tout convaincu des soit disant capacité dont elle est capable .
Certain ce demande même comment leur patron a pu faire confiance à une personne pareil ,cela ne lui ressemblé pas du tout, il avais pour habitude de renvoyer chier se genre de personnage qui se prenaient pour Nostradamus .

Tous la regardent et avec un mouvement de tête, la salut comme pour dire « enchanté mais là, j ai du boulot donc j'ai pas le temps pour les salutations. »

Judith regarde la pièce de long en large : sa contenance est à peut près de 60 m² un bon 6m de large sur 10 m de long en gros , les fenêtres large ou les rideaux à lamelles sont parfois baisser complétement d'autre qu'à moitié par certains endroit ils sont cassé et tordu,l'éclairage qui passe à travers se tamise et forme des ombres coupé sur le mur qui fait face . Cet éclairage donne à cette pièce une impression de longueur infini.
Des classeurs ou sont ranger les dossiers sont adossé au mur entre les espace des fenêtres ,quelque tiroir sont grand ouverts : les dossiers qui en sorte sont charger en documents, des feuilles corné et froissé,dépassent du cassier de rangement.
Judith remarque qu'il sont désordonnés est que cela n'est pas étonnant qu'il n'avance pas sur l enquête.

- Comment faites vous pour vous retrouvez dans tout ce foutoirs ?
Judith, qui déteste le désordre ne comprend pas comment ils peuvent d'organisé dans tout se bordel.
Et ,oh! On vous a pas sonné ,vous! on travail comme cela nous chante est ce bien clair!? S'exclame l'agent Tod, odieux et embêté d'avoir était découvert : il brasse de l'air au lieu de travaillé.
L'inspecteur n'avais jamais fait vraiment attention à ce détail car il travaillé tout les jours dans ces lieux désordonné sans s'en rendre compte, et si une étrangère arrivé à remarqué tous ce foutoirs, ses supérieurs le remarqueraient aussi , et il était peut être temps de faire quelques chose, car a la venue de ces agent très spécial,ils ne seraient pas pris aux sérieux et le dossier serais transférais à une autre équipe , pour une carrière dans la police cela n'est pas valorisant de s'être fait retiré une affaire a cause de votre travail bordélique et tellement peut ordonné qu'ils aurons pensé que ce ne sont que des incapables et que l'on ne pas pas laisser abrutis travaillé sur une enquête aussi importante.
Surtout que le jour ou ces supérieurs allez débarquer, ce serais pour savoir ou en est l'enquête et si s'il le faut avertir le président, avant de faire une conférence de presse pour tenir informé la population, d'un fou dangereux rôde dans la ville et enlève des personnes qui se promène seul la nuit.

- Non! Elle a raison comment voulais vous travaillez correctement dans ce bordel ,rangez moi tous ce merdier,sinon je m'occupe de vous transférez au archives ,et croyez moi il y en auras des trucs à rangé .
L'inspecteur aussi ne sais vraiment pas comment ses agents arrivent à ceux démerdaient pour travailler dans se foutoir, cela fait 1 semaine qu'il viens les voir et ceux tout les jours, afin de voir ou ils en sont sur leurs recherches,mais malheureusement ils n'y a rien de nouveau il le fait remarqué à agent Tod.
,vous avez encore et toujours le même dossier ouvert sur votre bureau , vous brassé de l'air mon petit gars, vous brassez vraiment de l'air!
Non chef! je travail ,j'essaie de comprendre pourquoi ce malade subtilise des membres à différente personnes qui non aucun rapport
Comment ça? Demande l 'inspecteur.

Et bien , pour chaque serial killer les victimes on une ressemblance ou un rapport : l'agent par dans quelques explications pour que Judith comprenne comment procède ce genre d'individu.
-Quand je dit quelles ont un rapport cela peut être le même age ou le même métier ou la couleur de yeux ou tout autre chose qui fait qu'un de ces malades les enlèvent et les tuent.
Mais la elle n'ont aucun rapport ou alors je ne sais pas encore le quel!
Donc en faites vous avez rien trouvez?!!!!
bas ….heu...... non! Désolé on rame tous de toute façon! N'est pas Lee ?
Oui! c'est vrai que là chef on patauge dans la semoule .
L'agent Howell rajoute avec un ton amer :
Et ce n'est pas avec une meuf qui sort de je ne sais ou, qui va nous aider à avancer , déjà qu'on rame alors si on doit chaperonné tous ses conneries moi je préfère resté chez moi!
Et bien restez chez vous demain ,si cela ne vous plait pas ? Moi personnellement j'y vois aucun inconvénient mais avant de partir rendez votre plaque ainsi que votre flingue .
Mais patron je..... enfin vous ….. ?
Et je vais vous dire une petite chose afin que vous sachiez , vous n'est pas irremplaçable,d'autre ferais n'importe quoi pour être sur une affaire de ce genre,alors je vous conseil de mieux vous comportez dorénavant ,est ce clair?!!!!!
Avarez montre sont mécontentement à l'agent Tod et Howell.
sur ceux je rentre chez moi, il se fait tard et ma femme m'attend pour diner . Quand à vous tous, je vous retrouvent tous ici demain ,avec une salle propre et bien rangé .L'inspecteur s'éloigne et disparaît derrière les portes de l 'ascenseur.
Judith s'apprête y aller également mais avant de rentré , elle demande à jeter un d'œil aux photographies des scènes ou l'ont à retrouvé les corps des victimes.
L'agent Lee qui feras équipe avec Judith la plus part de temps, lui montre volonté les clichés qui la lui même pris sur place avec le légiste.
C'est gore!!! lui dit il ,avant qu'elle ouvre le dossier.
Judith prend une profonde respiration car elle s'attendait à tout, elle n'avais jamais vu d'humain ou même d'animaux démembré, et même dans les films. Judith n'est pas du genre à aimé la violence.
Oh! mon dieu! S'écrit elle en regardant la première photo.
Heu.... et oui! rit l'agent Lee
Et elle sont toutes comme ça! Lui précise l'agent Lee.
Il lui fait comprend qu'elle sont classé de façon a ceux que chaque cliché est de plus en plus gore.
alors si vous voulez travailler sur cette affaire il faudra laissé vos angoisses et vos apriori de coté.
Oui je sais , de toute façon je m'attendais à voir ce genre d'horreur même si sur le coup cela ma bien surpris.
A bon? Mais normalement l'enquête et rester secrète .
IL ne comprend pas qu'elle et pu imaginé cela vue qu'il y est pu avoir aucune fuite de la part d'un de leurs agent .
Vous ne pouviez pas avoir entendu parler d'un moindre détail qui se rapporte à cette affaire .
Non bien sur que non ! Mais lorsque j ai vu une des photographie de l'une de c'est victimes tombé de votre dossier ce matin, j ai vu tout sort d'horreur défilé dans ma tête .
Des horreurs ? Mais de qu'elle sort?
Et bien j'ai entendu des hurlements ,vu du sang immaculée des instruments de torture ainsi que des lieux sombres et abandonné.
WOW! Vous être trop chelou! C'est tout à fait le genre de chose qu'il se passe dans notre affaire. Mais l'inspecteur vous en auras parlez?
Non,non, rien du tout c'est moi qui me suis présenté à l'inspecteur pour raconté tout ce que je savais, enfin plutôt ce que j'avais vu, mais je n'est pas trop eu le temps de rentré dans les détails il ne m'en a pas laisser le temps .
Il ma dit que vous étiez un peut bizarre, que vous voyer des choses ou entendez des truc , mais en fait j ai pas très bien compris se qu'il ma raconté.
Je ne sais pas comment cela s'appelle ,je ne pense pas non plus que c'est un nom .
Judith explique qu'elle n'est pas voyante ou un de c'est charlatans qui débitent tout un tas de connerie a qui veut l 'entendre contre une somme d'argent qui ne les ferais que revenir à la charge. , Judith explique comment elle peut voir des choses juste en regardant une photos ,L'agent Lee l'écoute avec attention et en même temps reste septique.
lorsque je vois le regarde de certaines personne je vois énormément de choses , et cela est encore plus facile pour moi si je les voie sur une photographie car il sont figé
Humm! Il faut reconnaître que cela est vraiment dure à croire pas que je ne croit pas en inexplicable mais si quand même .
Vous inquiétez pas ,je connais ce sentiment je l'ais moi même éprouvé autrefois envers les gents comme moi à l'époque je ne savais pas encore faire tous c'est trucs et je continue encore aujourd'hui de le ressentir envers tous c'est personne et même parfois pour moi même .
L'agent Lee ne sachant plus quoi en pensé : ayant du mal à comprendre se genre de sujet de conversation, préfère couper court à la discutions .
Bon et bien c'est pas que je m'ennuie avec vous ,mais je dois finir une tonne de dossiers, je vais resté là cette nuit .
Lee explique à Judith qu'il doit absolument finir un rapport pour le lendemain matin à la première heure , puis il prend un tons plus haut pour rajouté:
Pendant que mes très chère collègues range la pièce!!!!
Et bien à demain alors agent Lee. Rajouté Judith :elle fait signe au autres agents qui se trouve au loin dans la pièce parmi toutes c'est dossiers éparpillés au sol : ils ne prêtent même pas attention à son départ.
Sur ces dernier mots Judith sort du bureau et prend le chemin de l'accesseur pour quitter le bâtiment du F.B.I et rentre chez elle.


Dernière édition par reia le Sam 5 Fév - 15:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeJeu 3 Fév - 23:06

Je trouve que tu as un écriture très vive, des phrases courtes, un style percutant. Ton histoire serait vraiment bien sans ces maudites fautes d'othographe qui rendent la lecture très pénible. Mais tu n'as pas à rougir de tes écrits, j'en ai lu de plus mauvais !
C'est drôle parce qu'il y a plusieurs phrases sans aucune faute.
On pourrait commencer par repérer les verbes à l'infinitif ? Chaque fois que tu peux remplacer un verbe qui se termine avec le son "é" par le verbe prendre, par exemple, c'est un verbe à l'infinitif et il faut écrire sa terminaison avec "er".
Essaie de les repérer ! Bon courage, Réia !
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeJeu 3 Fév - 23:24

merci je vais mis mettre de suite
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 12:53

j 'ai passer la nuit a corrigé je vais supprimer mon extrait si je le peut( j ai pas encore essayé) et je vais vous mettre celui que j'ai corrigé j'éspére qu'il n'y a plus trop de fautes j'ai dormie avec mon becherelle a la place de mon livre Shocked
quoi qu'il en soit j'ai relut est trouver des fautes bête pourtant je l'ais relu et relu mais bon je l'ais avait pas vu jusque là!!
je n'ais pas tout à fait fini je préfère m'appliquer au mieux car je vous respect et je ne veux pas vous faire endurer mes fautes.

bisou et a plus tard avec moins de fautes voir(faut pas rêvé) aucunes fautes!!!!
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 14:31

Et bien Reia, j'ai la même analyse de Camylène. J'y ajoute que ta plume est bien imagée. Je n'ai eu aucun problème à "voir" ce que je lisais.

Ça serait beaucoup plus facile à lire si, au moment où tes personnages parlent, tu mettais un petit tiret devant leurs paroles.

Par exemple :

Pierre et Paul sont dans le salon, Pierre prend la parole.
- Que c'est beau chez toi !
- Merci répond son ami.
Ils se regardent pendant un moment sans rien se dire.
- J'adore ta déco, ose Pierre pour rompre le silence.
- Waouai, elle est pas mal, marmonne Paul.
Un ange passe de nouveau entre eux...


Voilà, ça ce n'est qu'un exemple, mais tu peux te rendre compte que ça facilite la lecture. Lorsque tu écris, penses toujours à tes lecteurs et au plaisir qu'ils doivent avoir d'être en ta compagnie ! C'est mon conseil du jour Very Happy
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 14:40

Je suis sûre que tu vas faire des progrès, Réia, car on te sent très motivée. Mais il faut y aller à petits pas, une chose à la fois, jusqu'à ce qu'elle soit bien assimilée. Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas !
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 17:25

merci^^ pour les petits traits oui j'en avais fait mais une personne soit disant bonne en français ma repris mon texte est ma dit j'ai tout corrigé la preuve que non! j ai même vu qu'elle avait enlever certains passages que vous ne connaissez pas (je ne sais pas ce qu'il lui a pris elle devais le lire seulement hier quand j ai tout relu j 'etait a la fois deçu énervé est pas trés contente Evil or Very Mad Evil or Very Mad mais cela m'apprendras à le faire lire à quelqun qui fait des éloges sur son bac alors qu'elle corrige pas mieux que ce que j'écris Wink on va dire que j'ai mis certaines choses au clair et je préfère vous le faire lire à vous est le corrigé moi même!!!(c'est plus constructif) vous allez voir la prochaine fois cela seras 100 fois mieux
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 19:24

Tu as une super bonne mentalité Réia ! cheers

C'est effectivement en faisant toi-même (avec notre aide) que tu apprendras le mieux:D !

Bravo pour ta motivation Exclamation
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 21:55

Bravo à toi pour ta ténacité !!! cheers Je sais, je me répète, mais bon ... Laughing Ne lâche pas la rampe, même si elle te semble glissante !!! Laughing
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 22:07

merci je suis touché par chacun de vos commentaires je vais bientôt remplacer mon texte par la correction que j'ai presque fini comme je le disais il manque plien d'éléments Evil or Very Mad et j'ai vu plein de fautes et j'ai surtout vraiment travaillé toute la nuit pour passer mon texte au peigne fin! alien
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claudy
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeVen 4 Fév - 22:53

Et moi, je te trouve géniale I love you
Un seul mot : continue et je laisse mes copines te guider mieux que je ne saurai le faire
Bisous à toi
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 16:01

voila j'ai corrigé toutes la partis 1 normalement le chapitre 2 c'est bon j ai relut 5 fois mais je vais quand même le relire je vous est juste mis le chapitre 2 car vous m'aviez dit que cela faisais peut pour une opinion les prochaines extrait serons plus loin maintenant je vais vous lire car je suis époustouflé par vos écris avez vous tous publier un livre ? en tout cas perle lune si je pouvais connaitre ton nom en t'en que écrivain je me ferais un petit cadeau (un livre de plus elle en a déjà 3 tonne à lire)pour mon anniversaire un thriller de notre perle lune!!!!!!
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 19:03

Un chapitre entier, c'est trop difficile à lire sur l'ordinateur, Réia. C'est la remarque que je faisais à Perle Anne sur son propre topic. Aujourd'hui, j'ai un peu de temps, je vais donc noter les fautes qui restent (mais tu as raison, il n'y en a presque plus, ce qui prouve qu'avec un peu d'attention, tu peux écrire aussi bien que n'importe qui ! Bravo !).

[color=red]Chapitre 2
Infiltration

18 août 2008
à Dallas
siège du F.B.I
bureau de l'inspecteur Avarez

- Mais vous vous foutez de moi !
Vous pensez que j'ai le temps de discuter avec une soi-disant voyante d'une affaire qui ne vous regarde en rien et qui, de plus, est cachée au yeux de la presse. Alors ce n'est pas à quelqu'un de perturbé mentalement que je vais donner des renseignements concernant ce meurtre.

- Mais ?.....
Judith Hamer n'a pas le temps de s'expliquer sur sa démarche, que l'inspecteur Avarez enchérit aussitôt

- Et puis comment avez-vous su pour cette enquête ? Personne n'est au courant, même pas le président !
L'inspecteur ne laisse pas le temps à Judith de s'exprimer, il est trop énervé pour écouter quoi que ce soit qui pourrait sortir d'un voyant ou d'un agent de la presse infiltré.
- Mais enfin laissez-moi vous expliquer qui je suis ! Je peux vous aidez sur cette affaire, j'ai des informations de la plus haute importance et cela pourrait vous aider à coincer ce taré.
- J' ai pas le temps d'écouter vos balivernes, sincèrement je vous conseille de déguerpir d'ici sur le champ si vous ne voulez pas que je vous mette au frais pour la nuit, et j'peux vous assurer que nos cellules ne sont pas des chambres 3 étoiles.
- Écoutez, bon sang! Je venais faire une déposition pour vol de voiture lorsque j'ai ramassé un dossier qu'un de vos agents venait de faire tomber, et comme je suis honnête, je l'ai ramassé pour le rendre à l'agent en question , mais comme en tombant il s'était ouvert, j'ai aperçu la photographie d'une des victimes de celui que vous surnommez « le collectionneur ».
- Dans ce cas, je vous remercie, Mlle... comment déjà?
- Judith Hamer !
- Oui enfin bref, merci bien Mlle Hamer mais il est temps de partir maintenant.
Judith ne l'entend pas de cette oreille, elle veut finir d'expliquer pourquoi elle se présente ainsi à l'inspecteur.
Lui visiblement très énervé perd patience. Il fait les cent pas dans la pièce, un gobelet de café dans la main droite et la gauche dans la poche de son veston : cet homme est de petite taille et bien enrobé, ce qui amène Judith à penser à ces flics qu'on peut voir à la télé, ceux qui se goinfrent de donuts et sont bien trop gros pour courir après les criminels, visiblement ce n'est pas un cliché. Son pantalon est vert foncé , il porte une chemise blanche et un veston gris .
« cet homme a très mauvais goût en matière vestimentaire » pense Judith en le regardant de haut en bas.

- Écoutez-moi juste une seconde ! Après je vous laisse tranquille, je vous le promets.
-Bon ! Allez-y qu'on en finisse! J'ai d'autres chats à fouetter moi !

Judith prend une grande respiration, ce coup-ci elle arrivera à dire ce qu'elle veut sans être coupée, l'inspecteur ne pourra pas en placer une et Judith pourra s'exprimer à sa convenance.
- Je suis dotée d'une capacité qui me permet de cerner les gens, quand je dit ça je veux dire tout simplement qu'avec une photographie je peux décrire le comportement, les goûts ainsi que ce qu'ils pensent, font ou envisagent de faire. (il s'agit des gens) Je peux situer des moments passés de leur propre vie, donner des lieux, préciser le sexe de certaines personnes qu'ils côtoient en ce moment et même leur âge approximativement, et encore d'autres choses. Vous me suivez jusque là?

- Humm! Mon collègue m'a répété la même chose avant que vous ne forciez la porte de mon bureau. Bon, déjà je ne l'ai pas cru et refusé de vous recevoir! Mais vous avez quand même forcé mon bureau pour venir me répéter tout ça! Et vous savez quoi ?! Je ne vous crois toujours pas! J'ai vraiment autre chose à faire, j'ai pas de temps à perdre avec vos conneries !!! Allez débiter vos âneries ailleurs, j ai un travail moi! Et il ne se fait pas tout seul . Vous savez, ça fait 6 mois que je travaille sur cette affaire, j ai des psychiatres experts dans la criminologie, ils sont spécialisés dans les meurtres en série, je n'ai que faire d'une personne comme vous.

Judith prend un moment pour regarder l'inspecteur et, tout en se levant de la chaise inconfortable sur laquelle elle avait passé trop de temps, dit :

- Votre père est mexicain ,votre mère américaine, vous avez grandi aux États-Unis, vous ne parlez pas un mot mexicain car vous n'avez jamais vu votre père ni ce pays de votre vie. Votre père ne vous a jamais reconnu à la naissance! Vous aimez les beignets, votre café est un double latté sans sucre. Vous êtes daltonien à en juger par la couleur de vos vêtements. Vous aimez les films à l'eau de rose car ils vous rappellent ceux que regardait votre mère. Elle a souffert d'une maladie psychologique type Alzheimer. Vous avez de l'après-rasage bon marché, vous n'aimez pas les transports en commun ,vous avez une passion pour les vieilles voitures, détestez le football américain, pariez aux jeux de course, vous avez une écurie qui se situe dans les 20 km d'ici, vous aimez vous y retrouver pour faire le point sur vos affaires lorsque vous séchez sur une enquête...

- STOP!!!!!! C'EST BON !! C'est bon.....j'ai compris... Mais après tout!! Vous auriez très bien pu demander ces informations à n'importe qui au poste, je vous signale, tout le monde me connaît ici, je suis le chef!

Judith le regarde au fond des yeux et cherche l'élément secret qui pourrait lui faire enfin comprendre qu'elle ne plaisante pas .

- Vous avez peur des lapins, vous êtes cuniculophobe ! Quelle drôle de phobie ! Mais cela ne se contrôle pas, les phobies sont toujours étranges. Vous faites toujours le même rêve, des millions de lapins qui galopent autour de vous un peu partout dans votre bureau, dans vos tiroirs, dans votre poubelle humm! C'est un vrai problème, ça vous rend même malade, vous avez même un traitement chaque fois qu'une crise se présente!

L'inspecteur est plus que gêné qu'elle ait découvert cette phobie dont, pourtant, il n'avait parlé a personne !!! Gêné aussi qu'elle se moque de sa phobie, lui ne peut la trouver ridicule, c'est une phobie après tout!

- Oui! Bon ça va ! Taisez vous! De quoi je vais avoir l'air si un de mes hommes l'apprend ? J'ai une réputation à tenir, moi .

Judith eut un rire amusé.
- Alors me croyez-vous maintenant ?
L'inspecteur ne peut pas cacher sa stupéfaction devant la prestation de Judith, mais il reste tout de même méfiant, avec ce genre de personnes c'est le mieux a faire, il faut s'attendre à tout.

- Si j 'accepte de vous laisser travailler avec nous sur cette affaire, qu'est- ce que j'y gagnerai?

L'inspecteur s'attend à tout entendre : Une somme exorbitante ou bien faire sortir un détenu en échange ou encore toute autre demande du genre qui n'est absolument pas négociable.

- Rien, absolument rien! Je vous laisse les honneurs, moi je veux travailler pour vous sur cette enquête uniquement, et je ne demanderai rien d'autre, pas de salaire, pas d'argent, rien!

L 'inspecteur, trouve la situation quelque peu douteuse mais accepte à condition de quelques détails qu'il explique à Judith.

- Vous n'aurez pas de protection rapprochée, vous vous engagez de votre plein gré avec tous les inconvénients qu'il peut y avoir dans une affaire aussi dangereuse.
- Oui bien sûr! Je suis même prête à signer un papier s'il le faut.
L'inspecteur commence à trouver la situation bizarre: c'est la première fois qu'il tombe sur une personne aussi inconsciente et surtout entêtée à ce point.
- Vous rendez-vous compte de l'endroit où vous mettez les pieds, vous ne pourrez plus jamais faire marche arrière, et vous savez , il n'est pas rare que je perde un de mes agents sur le terrain surtout lorsqu'ils sont infiltrés ,vous prenez des risques, de sérieux risques.
Judith comprend que Avarez la met en garde contre les dangers mais elle comprend aussi que cela ne sert qu'à la dissuader de faire partie de cette enquête.
- Oui je comprends, mais je ne changerai pas d'avis. Puis je ne serai pas infiltrée, donc je n 'aurai pas de risque n'est ce pas?
- Je vous ait dit « avec tous ses inconvénients » donc attendez-vous au pire .
Sur ces derniers mots l'inspecteur se lève et s'apprête à quitter la pièce lorsqu'il donne un dernier conseil à Judith :
- Réfléchissez bien, la nuit porte conseil et si d'ici demain vous êtes toujours décidée à vous mettre en danger je vous attendrai dans la salle d'investigation demain à la même heure.
- Eh bien à demain inspecteur.
L'inspecteur Avarez préfère faire une double enquête, il demande un/deux autres agents d'une autre section de recherche d'enquête sur Judith. Après tout cette femme vient de se présenter à lui, pour aider le F.B.I sans rien demander en retour, cela ne présage rien de bon .

Judith prend son sac et sa veste qui se trouvaient posés sur ses genoux et quitte le bureau de l'inspecteur. Elle regarde autour d'elle afin de repérer la salle d'investigation qui est chargée d'approfondir l'enquête.
Tout en se repérant ,Judith retrouve le guichet de la secrétaire qui se trouve juste devant elle ,Judith avait eu affaire à elle en entrant :c'est une personne qui est sans doute de petite taille car ses bras courts n'ont pas atteint le stylo qui était posé sur le comptoir . L'apparence de ce petit bout de femme est étonnante : ses cheveux rouges délavés avec racines grisonnantes, ses yeux peinturlurés de fard à paupière bleu canard (une couleur que portaient les femmes en 70 ,bien trop démodée) ,quant à ses lèvres elles portent un rouge à lèvres dans les tons orangés : et à en juger par son âge ainsi que sa tenue vestimentaire, cette femme n'avait pas dû s'acheter de vêtements depuis cette époque, chaque personne qui doit la regarder doit faire un bond dans le passé. Judith ne put se retenir de dire à voix basse :
- Cette femme ressemble à Andora dans ma sorcière bien-aimée, c'est trop chelou!
Judith regarde en direction de sa droite: des bureaux se trouvent de chaque côté de ce couloir où des bancs sont fixés au sol adossés contre le mur.
Judith se demande pourquoi ces bancs sont ainsi fixés au sol .
«On ne sait jamais, une personne mal intentionnée pourrait les voler ,c'est vrai qu'ils ont l'air tellement confortables » (les bancs)
Un homme est adossé contre le mur, ses mains sont entre les genoux il a l'air d'avoir pris un coup sur la tête car son regard est flou.
- Vous voulez de la glace monsieur Onel?
- Je veux ma femme! Voilà ce que je veux! Vous étiez sensés nous protéger!
- Calmez-vous, vous êtes sous le choc.
- Mais comment ne pas être choqué avec ce que je viens de vivre ? J'ai encore du mal à comprendre comment on peut faire une chose aussi horrible, il m'a enlevé ma femme ,l'a séquestrée pendant des jours , il m'a ensuite envoyé des photos au fil des jours où il me montrait la torture qu'il lui infligeait et vous n'avez rien fait pour nous aider, rien RIEN!
La femme qui venait de lui apporter de la glace se relève du banc et s'éloigne de l'homme :elle passe un coup de téléphone .
Judith tend l'oreille pour entendre un peu plus mais la femme est beaucoup trop loin et ne parle pas fort, certainement pour ne pas se faire entendre de l'homme, peut-être est-ce confidentiel.
Judith pose les yeux au sol et voit marqué F.B.I avec un sigle identique à celui qui est dans le hall d'entrée en bas, juste avant de prendre l'ascenseur .
De l'autre côté sur sa gauche se trouve une grande salle dont la cloison ainsi que la porte sont vitrées, on ne peut pas vraiment distinguer ce qu'il s'y passe car des affiches sont fixées par certains endroits, cela doit permettre de garder une certaine discrétion sur l 'affaire lorsque les visiteurs passent dans ces lieux.
Cela doit être ici la salle d'investigation? Se dit Judith avec un petit doute.
Un homme passe devant elle avec un dossier tellement chargé que les contours de la chemise dans laquelle il est rangé sont déchirés de tout leur long. Judith en profite pour demander se trouve le chemin de cette salle dans laquelle elle devrait se rendre demain.
Excusez-moi , c'est ici que se trouve la salle d'investigation sur l enquête du collectionneur? Dit Judith tout en indiquant avec le doigt la direction de cette salle vitrée.
- Chut!!!!!!!!!!!!!!!!! c'est une affaire secrète et non, ce n'est que la salle de repos. Venez je vais vous y conduire.
L'homme lui ouvre le chemin , sans se présenter à Judith, il a un regard d'agacement comme si quelque chose l'avait froissé .
- C'est là nous travaillons en toute discrétion .
Judith est dans l entrebâillement de la porte lorsque l'agent lui dit avec un ton sec.
- Eh ! Je vais vous donnez un conseil .
- Oui je vous écoute.
- Vous ne pouvez pas vous permettre de crier à qui veut l'entendre que nous enquêtons sur un fou dangereux qui collectionne des membres humains
je suis désolé .
Judith explique que cette histoire l'excite un peu et qu'elle est très pressée de travailler sur l'affaire.
- Vous êtes Judith Hamer ?!
- Oui. Désolée, dans tout ça j ai aussi également oublié de me présenter.
Judith insiste sur « le également » pour montrer à l'homme en question qu'il ne s'est pas identifié.
- J'ai mon patron qui ma parlé de vous il y a a peine quelques minutes. Vous êtes vraiment bizarre de vouloir vous intéresser à cette affaire.
- Si vous pouviez changer de disque .
Judith fait comprendre qu'elle commence à en avoir assez d'entendre la même chose depuis qu'elle s'est présentée au F.B.I .
- j'aimerais mieux savoir le peu d' infos que vous avez trouvées sur le vous savez qui.
- Je ne suis pas habitué à travailler avec une personne de votre genre ,mais ….. mais comme mon patron m'a demandé de faire équipe avec vous, je suis bien obligé de ravaler mes pensées à votre sujet et de coopérer.

Judith sais très bien ce que pense l 'inspecteur mais avant de faire son numéro de madame soleil , elle préfère attendre et rencontrer les autres agents qui sont également sur l enquête et connaître le plus d'éléments possible(s) sur le maniaque qui démembre ses victimes.

Après avoir passé 2 ou 3 couloirs, plusieurs portes, ils arrivent tous deux dans la salle les agents chahutent bon train.
- C'est fini! L'inspecteur n'est pas loin vous voulez vous faire virer ou quoi?!
- Oh! ça va ! On déconne un peu ,ça fait des semaines qu'on travaille et qu'on n'avance pas ! On est crevés .
- ON NE VOUS PAYE PAS POUR DORMIR!!!!! dit l 'inspecteur qui arrive dans le dos d'un agent qui joue au basket avec des boules de papier qu'il jette dans la poubelle.
- Je vois Mlle Judith que vous avez fait connaissance avec agent Lee Kong
- oui tout juste.

Judith explique qu'elle l'a rencontré dans le hall en sortant de son bureau ,mais il ne s'était pas présenté.
- Comme à son habitude ! Dit L'inspecteur tout en toussotant en direction de Lee Kong pour lui faire la remarque.
- Et je vous présente ici agent Tod qui est profiler ,il a travaillé pour le président des États-Unis et agent Howell qui fait des recherches sur le passé du collectionneur afin de comprendre ses agissements et pourquoi il sévit dans la région . Quant à agent Lee Kong, il sera sur le terrain avec nos renforts lorsqu'on aura découvert est la cachette du collectionneur .

L'inspecteur explique aussi que l'agent Lee s'occupe aussi des découvertes de corps abandonnés avec le légiste.
- Ce sadique prend plaisir à nous envoyer des photographies de ce qu'il fait à chaque victime au fur et à mesure des heures voire des jours de captivité.

L'inspecteur présente Judith aux agents qui la trouvent fort séduisante mais par ailleurs ne sont du tout convaincus des soi-disant capacité dont elle est capable .
Certains se demandent même comment leur patron a pu faire confiance à une personne pareille ,cela ne lui ressemble pas du tout, il avait pour habitude d'envoyer chier ce genre de personnages qui se prenaient pour Nostradamus .

Tous la regardent et avec un mouvement de tête, la saluent comme pour dire « enchanté mais là, j ai du boulot donc j'ai pas le temps pour les salutations. »

Judith regarde la pièce de long en large : sa contenance est à peu près de 60 m² un bon 6m de large sur 10 m de long en gros , les fenêtres larges les rideaux à lamelles sont parfois baissés complétement, d'autres qu'à moitié ; par certains endroits ils sont cassés et tordus, l'éclairage qui passe à travers se tamise et forme des ombres coupées sur le mur qui fait face . Cet éclairage donne à cette pièce une impression de longueur infinie.
Des classeurs sont rangés les dossiers sont adossés au mur entre les espaces des fenêtres ,quelques tiroirs sont grand ouverts : les dossiers qui en sortent sont chargés en documents, des feuilles cornées et froissées dépassent du casier de rangement.
Judith remarque qu'il sont désordonnés et que cela n'est pas étonnant qu'ils n'avancent pas sur l enquête.
- Comment faites-vous pour vous retrouver dans tout ce foutoir ?

Judith, qui déteste le désordre, ne comprend pas comment ils peuvent s'organiser dans tout ce bordel.
- Eh ,oh! On vous a pas sonnée ,vous! on travaille comme cela nous chante est-ce bien clair!? S'exclame l'agent Tod, odieux et embêté d'avoir été découvert : il brasse de l'air au lieu de travailler.
L'inspecteur n'avait jamais fait vraiment attention à ce détail car il travaillait tous les jours dans ces lieux désordonnés sans s'en rendre compte, et si une étrangère arrivait à remarquer tout ce foutoir, ses supérieurs le remarqueraient aussi , et il était peut-être temps de faire quelques chose, car à la venue de ces agents très spéciaux, ils ne seraient pas pris au sérieux et le dossier serait transféré à une autre équipe , pour une carrière dans la police cela n'est pas valorisant de s'être fait retirer une affaire à cause de votre travail bordélique et tellement peu ordonné qu'ils auront pensé que ce ne sont que des incapables et que l'on ne peut pas laisser des abrutis travailler sur une enquête aussi importante.
Surtout que le jour ces supérieurs allaient débarquer, ce serait pour savoir en est l'enquête et s'il le faut avertir le président, avant de faire une conférence de presse pour tenir informée la population, d'un fou dangereux qui rôde dans la ville et enlève des personnes qui se promènent seules la nuit.

- Non! Elle a raison comment voulez-vous travailler correctement dans ce bordel ? Rangez-moi tout ce merdier,sinon je m'occupe de vous transférer aux archives ,et croyez-moi, il y en aura des trucs à ranger .
L'inspecteur aussi ne sait vraiment pas comment ses agents arrivent à se démerder pour travailler dans ce foutoir, cela fait 1 semaine qu'il vient les voir et ce tout les jours, afin de voir ils en sont sur leurs recherches,mais malheureusement il n'y a rien de nouveau, il le fait remarquer à agent Tod.
- Vous avez encore et toujours le même dossier ouvert sur votre bureau , vous brassez de l'air mon petit gars, vous brassez vraiment de l'air!
- Non chef! je travaille ,j'essaie de comprendre pourquoi ce malade subtilise des membres à différentes personnes qui n'ont aucun rapport
- Comment ça? Demande l 'inspecteur.

- Eh bien , pour chaque serial killer les victimes ont une ressemblance ou un rapport.
L'agent part dans quelques explications pour que Judith comprenne comment procède ce genre d'individu.
-Quand je dis qu'elles ont un rapport, cela peut être le même âge ou le même métier ou la couleur des yeux ou toute autre chose qui fait qu'un de ces malades les enlèvent et les tuent. Mais là, elles n'ont aucun rapport ou alors je ne sais pas encore lequel!
- Donc en fait vous n'avez rien trouvé?!!!!
- bah ….heu...... non! Désolé on rame tous de toute façon! N'est-ce pas Lee ?
- Oui! c'est vrai que là chef on patauge dans la semoule .
L'agent Howell rajoute avec un ton amer :
- Et ce n'est pas avec une meuf qui sort de je ne sais , qui va nous aider à avancer , déjà qu'on rame alors si on doit chaperonner toutes ses conneries moi je préfère rester chez moi!
- Eh bien restez chez vous demain ,si cela ne vous plaît pas ? Moi personnellement j'y vois aucun inconvénient mais avant de partir rendez votre plaque ainsi que votre flingue .
- Mais patron je..... enfin vous ….. ?
- Et je vais vous dire une petite chose afin que vous sachiez , vous nêtes pas irremplaçable,d'autres feraient n'importe quoi pour être sur une affaire de ce genre,alors je vous conseille de mieux vous comporter dorénavant ,est-ce clair?!!!!!
Avarez montre son mécontentement à l'agent Tod et Howell.
- Sur ce, je rentre chez moi, il se fait tard et ma femme m'attend pour dîner . Quant à vous tous, je vous retrouve tous ici demain ,avec une salle propre et bien rangée .
L'inspecteur s'éloigne et disparaît derrière les portes de l 'ascenseur.
Judith s'apprête à y aller également mais avant de rentrer , elle demande à jeter un coup d'œil aux photographies des scènes l'on a retrouvé les corps des victimes.
L'agent Lee qui fera équipe avec Judith la plupart du temps, lui montre volontiers les clichés qu'il a lui-même pris sur place avec le légiste.
- C'est gore!!! lui dit il ,avant qu'elle ouvre le dossier.
Judith prend une profonde respiration car elle s'attendait à tout, elle n'avait jamais vu d'humain ou même d'animaux démembrés, et même dans les films. Judith n'est pas du genre à aimer la violence.
- Oh! mon dieu! S'écrie-t-elle en regardant la première photo.
- Heu.... et oui! rit l'agent Lee. Et elle sont toutes comme ça! Lui précise l'agent Lee.
Il lui fait comprendre qu'elles sont classés de façon à ce que chaque cliché soit de plus en plus gore.
- Alors si vous voulez travailler sur cette affaire il faudra laisser vos angoisses et vos a priori de côté.
- Oui je sais , de toute façon je m'attendais à voir ce genre d'horreur même si sur le coup cela ma bien surprise.
- Ah bon? Mais normalement l'enquête est restée secrète .
IL ne comprend pas qu'elle ait pu imaginer cela vu qu'il y n'y a pu avoir aucune fuite de la part d'un de leurs agents .
- Vous ne pouviez pas avoir entendu parler d'un moindre détail qui se rapporte à cette affaire .
- Non bien sûr que non ! Mais lorsque j ai vu une des photographies de l'une de ces victimes tomber de votre dossier ce matin, j ai vu toutes sortes d'horreurs défiler dans ma tête .
- Des horreurs ? Mais de quelle sorte ?
- Eh bien j'ai entendu des hurlements ,vu du sang immaculé des instruments de torture ainsi que des lieux sombres et abandonnés.
- WOW! Vous êtes trop chelou! C'est tout à fait le genre de chose qu'il se passe dans notre affaire. Mais l'inspecteur vous en aura parlé ?
- Non,non, rien du tout ! C'est moi qui me suis présentée à l'inspecteur pour raconter tout ce que je savais, enfin plutôt ce que j'avais vu, mais je n'ai pas trop eu le temps de rentrer dans les détails il ne m'en a pas laissé le temps .
- Il ma dit que vous étiez un peu bizarre, que vous voyez des choses ou entendez des trucs , mais en fait j ai pas très bien compris ce qu'il m'a raconté. Je ne sais pas comment cela s'appelle ,je ne pense pas non plus que cela ait un nom.
Judith explique qu'elle n'est pas voyante ou un de ces charlatans qui débitent tout un tas de conneries à qui veut l 'entendre contre une somme d'argent qui ne les ferait que revenir à la charge. Judith explique comment elle peut voir des choses juste en regardant une photo ,L'agent Lee l'écoute avec attention et en même temps reste sceptique.
- Lorsque je vois le regard de certaines personnes, je vois énormément de choses , et cela est encore plus facile pour moi si je les vois sur une photographie car il sont figés.
- Humm! Il faut reconnaître que cela est vraiment dur à croire ! Pas que je ne crois pas en l'inexplicable, mais si quand même .
- Vous inquiétez pas ,je connais ce sentiment je l'ai moi-même éprouvé autrefois envers les gens comme moi. A l'époque je ne savais pas encore faire tous ces trucs et je continue encore aujourd'hui de le ressentir envers toutes ces personne et même parfois pour moi-même .
L'agent Lee ne sachant plus quoi en penser : ayant du mal à comprendre ce genre de sujet de conversation, préfère couper court à la discussion .
- Bon eh bien c'est pas que je m'ennuie avec vous ,mais je dois finir une tonne de dossiers, je vais rester là cette nuit .
Lee explique à Judith qu'il doit absolument finir un rapport pour le lendemain matin à la première heure , puis il prend un ton plus haut pour rajouter:
Pendant que mes très chers collègues rangent la pièce!!!!
- Eh bien, à demain alors agent Lee, Rajoute Judith : elle fait signe aux autres agents qui se trouvent au loin dans la pièce parmi tous ces dossiers éparpillés au sol : ils ne prêtent même pas attention à son départ.
Sur ces derniers mots Judith sort du bureau et prend le chemin de l'ascenseurr pour quitter le bâtiment du F.B.I et rentre chez elle.[/size]

Il y a surtout beaucoup de fautes d'inattention, Réia. Mais c'est déjà bien mieux que ta première version ! Je ne les ai peut-être pas toutes vues, d'ailleurs...
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 19:25

merci d'avoir corriger ^^ vraiment !!!je suis contente de voir qu'il y en a pas trop(de fautes) mais j’ espérais qu'il y en est encore moins! la prochaine fois je métrerais des petits extraits dans les moments ou y a de l'action cela seras moins long à lire et plus captivant non?
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 20:04

Oui, je crois qu'il vaut mieux mettre des passages plus courts...
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 20:28

pas de problème par contre la suite risque de choquer c'est plein de passage un peu choquant^^ c’est du thriller gore connaissais vous Dean koock? on ma dit que j'avais le même style ce qui est embêtent car je vois pas qui c'est je suis aller chez Leclerc demander mais ils n'en avais pas j’espère le trouve un jour car j'aimerais bien lire ce qu'il écrit
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 20:45

OUPS ! Si c'est du thriller gore, moi je vais vite décrocher, Réia ! Je n'ai jamais lu l'auteur dont tu parles, je le connais seulement de nom.
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeSam 5 Fév - 22:02

What a Face oui il est vrai qu'il faut aimé je me suis lancer dedant car j'ai pas mal de peur ridicul et je compt me soigné en ecrivant mes peurs je fait enduré tout un tas de mesaventure a ma Judith je lui fait vivre ce que j'ai peur quon me face pale mais si tu décroche cela serais tout a fait normal je comprend tout le monde a un style différent heureusement d’ailleurs celui la je le continue en douce en vous demandant des conseils entre temps pour me reposer des trucs gore (thérapie je l’appelle mon livre)
j'écris une histoire de kidnapping au la ville de bâton rouge au Etats unis cela vous plairais peut être mieux j'ai aussi écrit des nouvelles sur le japon en presque 1 ans je travaille tout plein de truc j'essaie je teste, j’efface, je garde, j'entasse des écris
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Corynn
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeDim 6 Fév - 11:19

Heuuu, pas trop le gore pour moi non plus Reia !

Une nouvelle sur le Japon ? Et pourquoi pas ? Very Happy
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitimeDim 6 Fév - 13:59

je la corrigerais a fond oui j'écris pas mal sur le japon comme j'apprend la langue^^
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MessageSujet: Re: " en captivité" extrait 1    " en captivité" extrait 1  Icon_minitime

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