Je termine la lecture de ce roman/récit – la vie des femmes d’une même famille, sur plusieurs générations, dans un hôtel parisien de la rue Vaudrezanne – avec presque un sentiment de malaise et d’immense gâchis. Que de misère, de malheurs, de tristesse, de dureté, sans pratiquement aucune petite lueur d’espoir ou de moment d’apaisement (sauf peut-être tout à la fin, et encore...).
Pourtant, au départ, en 1900, tout souriait à Marie et Antoine, deux jeunes et beaux amoureux, et puis…
J’ai bien aimé que Marie-Line, Claudia et Josèphe, les trois cousines de la dernière génération, aient eu – malgré tout – chacune de leur côté, envie de voir ou de revoir une fois leurs arrières-grands-parents.
Difficile d'en parler plus sans trop en dévoiler...
Sans doute qu’il y a une petite part de “vécu” derrière tout ça, et que l’écriture n’a pas dû être facile ! Tu n’en as que plus de mérite, Marie !